Découvrir Montroy

Histoire de Montroy

Le Département de la Charente-Maritime est constitué de deux provinces : la partie occidentale de la Saintonge autour de Saintes, et l’Aunis autour de La Rochelle. Au XIIe siècle Montroy, situé dans l’Aunis, s’appelait Mont Rubeo (Mont Rouge) et était la propriété d’Hugues de Lusignan après celle de l’abbaye St Jean de Montierneuf, à Poitiers.

Au fil du temps

Plusieurs dirigeants de Montroy se succèdent par la suite. En 1226, Geoffroy Chabot, Seigneur de Montroy et de Saint Rogatien, rend hommage au Baron de Nuaillé en lui donnant chaque année 26 livres onces d’or et une garde de quarante jours. Viennent par la suite 3 autres seigneurs : Seguin du Dognon en 1323, puis Robert de Bourg en 1370 et son fils, Jean de Bourg jusqu’en 1431.

A partir de 1445, c’est Maître Pierre Bragier, licencié en loi, conseiller du roi et Maire de La Rochelle qui acquière la seigneurie de Montroy puis, Maître Pierre Bragier, sans doute son fils, président en sa cour du Parlement de Bordeaux et conseiller du roi, qui sera seigneur jusqu’en 1490.

Du Maniérisme à la Révolution française

Du début du XVIe siècle jusqu’à la révolution, 5 familles se succèdent à la seigneurie de Montroy. La famille Langlois, qui prend le nom d’Angliers à partir de 1515, et dont 4 membres sont successivement seigneurs de Montroy :

Gabriel de Polignac,

fils de Marie d’Angliers de 1596 à 1628.

Louise de Polignac,

épouse Henri de Clermont qui cède ses châtellenies de Montroy et St Médard à Monsieur de Ranconnet vers 1640.

Cinq générations de Ranconnet viennent par la suite de 1640 à 1764. Marie de Ranconnet apporte les terres de Montroy et Saint Médard d’Aunis lors de son mariage avec Joseph Euzenou de Kersalaün, en 1764. Il est donc le seigneur de Montroy jusqu’à la révolution : ses biens seront confisqués puis vendus aux enchères, dont le château et ses dépendances, en 1792.

Les vestiges du château

La bâtisse présentait encore un long corps de bâtiments au début du XVIIIe siècles : aujourd’hui les pierres du château ont vraisemblablement servi à la construction d’une grande partie des anciennes maisons de la Grande rue.

Au fil du temps

Plusieurs dirigeants de Montroy se succèdent par la suite. En 1226, Geoffroy Chabot, Seigneur de Montroy et de Saint Rogatien, rend hommage au Baron de Nuaillé en lui donnant chaque année 26 livres onces d’or et une garde de quarante jours. Viennent par la suite 3 autres seigneurs : Seguin du Dognon en 1323, puis Robert de Bourg en 1370 et son fils, Jean de Bourg jusqu’en 1431.

A partir de 1445, c’est Maître Pierre Bragier, licencié en loi, conseiller du roi et Maire de La Rochelle qui acquière la seigneurie de Montroy puis, Maître Pierre Bragier, sans doute son fils, président en sa cour du Parlement de Bordeaux et conseiller du roi, qui sera seigneur jusqu’en 1490.

Du Maniérisme à la Révolution française

Du début du XVIe siècle jusqu’à la révolution, 5 familles se succèdent à la seigneurie de Montroy. La famille Langlois, qui prend le nom d’Angliers à partir de 1515, et dont 4 membres sont successivement seigneurs de Montroy :

Gabriel de Polignac,

fils de Marie d’Angliers de 1596 à 1628.

Louise de Polignac,

épouse Henri de Clermont qui cède ses châtellenies de Montroy et St Médard à Monsieur de Ranconnet vers 1640.

Cinq générations de Ranconnet viennent par la suite de 1640 à 1764. Marie de Ranconnet apporte les terres de Montroy et Saint Médard d’Aunis lors de son mariage avec Joseph Euzenou de Kersalaün, en 1764. Il est donc le seigneur de Montroy jusqu’à la révolution : ses biens seront confisqués puis vendus aux enchères, dont le château et ses dépendances, en 1792.

Les vestiges du château

La bâtisse présentait encore un long corps de bâtiments au début du XVIIIe siècles : aujourd’hui les pierres du château ont vraisemblablement servi à la construction d’une grande partie des anciennes maisons de la Grande rue.